Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (24) Abattage
Jai raconté, depuis ma rencontre avec Rachid (récit n°10) comment celui-ci, devenu mon mâle, avait fait de moi une «salope intégrale» et avait repoussé toujours plus loin les limites de mon hypersexualité comme le candaulisme de mon mari Philippe. Celui-ci assumait ses fantasmes plus loin quil naurait pu en rêver, lui qui, pendant des années, avait tant fait pour me convaincre daller vers ma pente naturelle. De son côté, il avait aussi fait son coming-out et assumait enfin sa bisexualité, car il Rachid était aussi devenu son amant, ou plutôt son mâle, car Rachid était exclusivement actif et dominateur.
Pourquoi avons-nous tout accepté ?
Devenue la « femelle » de Rachid, jai, pendant tous ces mois, avec laccord et la complicité active de Philippe, tout accepter. Rachid ma offerte à de nombreux hommes, en commençant par le concierge Georges, nos voisins, les collègues de travail de Philippe, à notre domicile, sur le lieu de travail de Philippe, ou chez dautres complices de ces parties fines, comme la maison de campagne de Christine et Jean, où mon ennemie intime, Marie C. était lordonnatrice de séance SM de plus en plus hard.
Toutes les semaines, je me rendais dans la cité de Rachid, pour être la « putain gratuite » des jeunes du quartier. Commencées dans une cave (récit n°20), ces séances se poursuivaient dans lappartement mis à disposition par Kamel, ami très proche de Rachid. Jen reparlerai car ce détail a une grande importance, Kamel étant le frère de celui qui fut ensuite mon mâle et mon mari, Hassan.
Oui, nous avons tout accepté et navons été contraints à rien. Je suis allé jusquà me faire féconder par Rachid, en présence de Philippe et avec son accord. Nous navons pas hésité à ruiner notre réputation dans la ville, méprisés tant dans la « bonne société » que dans le quartier sensible où les jeunes se vantaient de « cocufier la femme de T », un notable de la ville. Même les partouzes sado-masochistes du week-end, organisées au «château», je les acceptais.
Et pourtant, les choses allaient de plus en plus loin et je nignorais ni les conséquences, ni les menaces qui pesaient, la plus grave étant la volonté de Marie C de me détruire et de me prendre Philippe. Celui-ci, même sil avait eu des relations sexuelles avec elle, continuait à me porter un amour exclusif, et cela rendait Marie folle de rage et donc particulièrement dangereuse.
Pourquoi alors acceptais-je tout cela et ny mettait pas fin, comme Philippe my avait invité à plusieurs reprises ?
Jaurais pourtant du comprendre que Rachid navait aucun sentiment pour moi. Au contraire, à travers moi et Philippe, il pensait prendre sa revanche sur les gens des beaux quartiers, en humiliant un notable et en montrant à tous quil faisait ce quil voulait de la belle épouse de celui-ci. Il navait donc pas besoin dêtre poussé beaucoup pour aller dans le sens voulu par sa complice Marie C. Il ma fallu beaucoup de temps pour le comprendre. Depuis le jour où Rachid mavait « » dans lascenseur de mon immeuble, jétais devenue follement amoureuse de lui. Il pouvait tout me demander. Ce qui ne mempêchait de continuer à aimer Philippe. Rachid, je le rappelle, avait 11 ans de moins que moi. Il avait un visage dange, un corps de Dieu, musclé. Jétais folle de lui.
Jobéissais aussi à mes sens. Je nimaginais pas pouvoir me passer des étreintes, des saillies de Rachid. Jétais insatiable. Avant lui, personne ne mavait donné autant de plaisir. Ma chatte, ma bouche, mon anus, ne pouvaient se passer de sa superbe queue et ses caresses me rendaient folle.
Il y avait aussi le fait que, tant en ce qui me concernait pour mon hypersexualité, que Philippe pour son caudaulisme, nous poussions jusquau bout nos fantasmes et nos tendances naturels. Nous navions pu aucune limite. Rachid lavait compris et en profitait.
Jajoute une dernière chose en ce qui me concerne. De par mes origines, jai eu une éducation très croyante. Consciemment, jacceptais les séances les plus dures, celles organisées par Marie C.
Il y a eu pourtant plusieurs épisodes, avant la naissance de ma fille Lucie, où Rachid est allé de plus en plus loin et, où, à chaque fois, Philippe et moi nous nous sommes dits quil fallait mettre fin à ces dérives graves avant que ça ne dérive davantage. Mais à chaque fois, il suffisait que je me retrouve dans le lit de Rachid pour que toute volonté mabandonne, pour que je renouvelle mon abandon, ma totale soumission, à celui qui était devenu non seulement mon mâle, mais mon maître. Et ce dautant plus que Philippe, qui assistait à nos étreintes, encourageait notre amant commun.
Oui, Rachid, cest beau, je ne men lasse pas, elle est à toi, bourre la, vas-y, plus fort, je veux lentendre hurler de plaisir
Et pendant que jenchainais les orgasmes sous les assauts de Rachid, Philippe éjaculait sans avoir besoin de se toucher. Souvent, nous lui demandions de venir et de se vider dans ma bouche, ou alors sur mon visage ou mes seins. Et ensuite, nous stimulions ensemble, par une fellation, notre amant commun, pour quil puisse nous honorer lun ou lautre.
Je vais donc maintenant évoquer les circonstances où il est allé trop loin, même si, sur le moment, jai été incapable den tirer les conséquences en mettant fin à cette descente aux enfers où mentrainaient mes sentiments envers Rachid, mon hypersexualité, le candaulisme de Philippe, mais aussi ma volonté de me punir de mes fautes.
Comme je lai raconté (récit 20), Rachid mamenait chaque semaine dans sa cité dorigine, pour moffrir aux jeunes du quartier. Ça se passait dans lappartement de Kamel, le pote de Rachid et celui-ci choisissaient avec Rachid ceux qui auraient le plaisir de faire ça avec une « bourge des beaux quartiers » de la ville. La plupart de ces jeunes étaient peu expérimentés, voire «puçeaux». Ils étaient, selon les semaines, entre cinq à dix qui profitaient de mon corps.
Jai fait ça pendant des mois, jusquà ce que ma grossesse moblige à interrompre ces rendez-vous. Je les ai repris après la naissance de Lucie, jusquà ma rencontre avec Hassan et ma rupture avec Rachid. Dans cette cité cest toute une génération dont jai fait léducation sexuelle et qui ont gardé le souvenir de ces moments.
Mais Rachid voulait aller plus loin. Il y avait dans la ville un foyer de travailleurs migrants. Rachid my amena plusieurs fois. La première fois ce fut quelques jours après ma fécondation. Il me dit :
Tu mas épuisé, salope. Jai trouvé ce quil faut pour éteindre le feu que tu as au cul. Je tamène au foyer S. Il y a là des travailleurs célibataires ou loin de leurs familles, des chibanis qui nont pas eu loccasion depuis longtemps de se vider les couilles, surtout avec une bourge comme toi. Ce sera de labattage. Philippe, tu es daccord ?
Il ne me demandait pas mon avis, il se contentait de demander laccord de Philippe.
Du moment quOlga est daccord et quelle ait du plaisir. Tu sais quelle est insatiable et moi je ne me lasse pas de la voir prise par dautres hommes.
Et moi vous ne me demandez pas ce que jen pense ?
Tu es à moi, femme, je suis ton mâle. Ton mari ta confié à moi et je fais de toi ce que je veux. Obéis, sinon tu ne me verras plus. Peux-tu te passer de moi ?
Non, tu le sais. Tu es mon homme. Je ferai ce que tu veux. Après tout, cest une nouvelle occasion de menvoyer en lair et tu sais que jaime ça, et mon mari adore ça aussi !
Cest une nouvelle humiliation pour moi que ma femme soit offerte à ces types, mais en même temps ça mexcite énormément. Et comment as-tu fait pour pouvoir rentrer dans ce foyer ?
Grâce à la complicité de deux vigiles, ils auront droit à une récompense en nature.
Nous arrivons au foyer, qui a été rénové récemment. Les deux vigiles nous accueillent, ils se montrent très familiers avec moi, en posant leurs mains sur mes fesses et mes seins. Ils connaissent Philippe :
Alors Monsieur T, cette fois vous venez la faire baiser ici, au foyer ? Cest vraiment une putain votre épouse. Toute la ville lui sera bientôt passée dessus.
Ne portez pas de jugement. Vous allez en profiter ce soir, le reste ne vous regarde pas.
Dis-donc le cocu, tu baisses le ton, tu veux ? Et Rachid noublies pas, on viendra vers 22h00. Allez au second étage, il y a une chambre assez grande, vide en ce moment, qui a été préparée.
On entre dans la chambre, je sors ma boite de 12 capotes et mon tube de gel, mais Rachid sort une boite encore plus grosse, de 50 capotes.
Il faudra ça, ces types sont nombreux et ont besoin de se vider les couilles. Noubliez pas les gras, elle est à vous, faites lui tout ce que vous avez envie. La seule chose : capote obligatoire !
Puis il sort et me dit que cest parti. Philippe se met une chaise, pour ne rien perdre du spectacle.
Je regarde autour de moi, je compte au moins 7 hommes. Trois dentre eux se présentent, un colosse roux qui doit avoir dans la quarantaine, André, un autre dont les mains calleuses confirment quil est maçon, Miguel et un Chibani qui me dit sappeler Ahmed.
On retrousse ma robe dévoilant le porte-jarretelles.
Putain ! Quelle pute, regardez ça les gars.
On se précipite et on baisse mon string. Aussitôt, des doigts senfoncent dans ma chatte.
On palpe mes fesses, mes seins à travers le haut de la robe. On sénerve dessus et on finit par déchirer le bustier. Le soutien-gorge en dentelle apparait. On baisse les balconnets et des mains sempressent de malaxer mes seins. Des bouches avides semparent de mes tétons et suce les pointes. Un jeune se met à genoux devant moi, écarte mes jambes et me bouffe le sexe. Il donne de grands coups de langue agaçant le clitoris. Je commence à pousser des cris de plaisir.
Je me mords la lèvre inférieure et ferme les yeux lorsque je sens deux paumes chaudes se refermer timidement sur mes mollets. Les deux mains remontent ensuite doucement pour atteindre les cuisses quelles se mettent à caresser dun mouvement régulier et circulaire. Les doigts se referment pour saisir la peau douce et brûlante alors que ma respiration se fait de plus en plus sifflante. Je ne peux mempêcher de poser mes mains sur le crâne aux cheveux épais et bouclés afin de le caresser. Jouvre les yeux à demi en sentant une présence à mes côtés. Le roux, le visage presque écarlate, et Miguel, les yeux plus animés que jamais et les joues rosées, se sont approchés. Leur respiration est également bruyante et accompagne celles des deux autres protagonistes.
Ahhh !
Cest en pliant subitement les genoux tout en refermant mes cuisses et mes mains autour du crâne de mon partenaire que je pousse ce cri aigu qui raisonne dans la chambre. En effet, Ahmed, en prolongeant une de ses caresses vient de heurter du bout des doigts le fruit intime et recouvert du tissu satiné. Les trois hommes se regardent, également surpris par la puissance du cri alors que, le visage déformé par une grimace de plaisir, je tente de retrouver mes esprits. Je me redresse, me cambre et fais leffort décarter un peu plus les jambes, le souffle court. LArabe en profite pour, de la paume dune de ses mains, caresser nerveusement lentrejambe de sa proie. Surexcité, il se lève ensuite pour refermer ses mains sur mes hanches et mattirer à lui dune manière presque brusque.
Nos deux regards se croisent mais je baisse rapidement les yeux sous leffet de cette vague de plaisir incontrôlable provoquée par le contact du bas-ventre de lhomme contre le mien. La mâchoire inférieure légèrement tremblante, jentrouvre légèrement la bouche comme pour appeler celle du Maghrébin. La langue épaisse dAhmed, au goût de tabac et de thé vert, senroule fébrilement autour de la mienne.
Ahmed met ensuite délicatement fin au mélange des deux muqueuses afin de coller ses lèvres sur le cou chaud et à la peau fine pour entamer une série de baisers humides. La tête en arrière et la gorge déployée, jémets un feulement de bête blessée qui se répercute dans la chambre. Les observateurs sont maintenant au paroxysme de lexcitation et leur respiration est haletante. Je tourne la tête vers eux au moment où le visage proche de lexplosion, ils sont en train de dégrafer fébrilement leur braguette, les mains tremblantes.
Ahmed a maintenant baissé le string qui se retrouve enroulé à mi-cuisses. Il fait passer une de ses mains entre son ventre et le mien, glisse trois doigts à lintérieur des poils et des chairs trempées et agacées avant de dresser le majeur afin de préparer une pénétration. Je plante mes dents dans son épaule afin déviter de hurler mais ne peux sempêcher de pousser une longue plainte étouffée. Le majeur sintroduit à mi-course dans le puits pour commencer den inspecter les contours. Transportée sur un nuage paradisiaque, les yeux dans le vague, je lance un nouveau regard vers les autres comparses. Ces inconnus, les résidents de ce foyer, vont me baiser, sous le regard complice de Rachid, qui est revenu dans la chambre, et de Philippe.
André, le roux, est parvenu à extirper de la braguette des pantalons de velours une queue blanche, longue, droite, fine et terminée par un gland rond et rouge qui pointe en hauteur. Les couilles, enfermées dans leur sac recouvert de poils blonds et roux sont également sorties de la braguette, congestionnées sous leffet de la pression. Miguel, de son côté, a dégrafé son ceinturon et légèrement baissé son slip et son jean pour libérer un sexe court et épais perdu au milieu dune pilosité aussi foncée quabondante. Un gland en forme de champignon semble lui aussi réclamer son dû. Le colosse, fou de désir, savance vers le couple et tente de pousser le Maghrébin afin de profiter de moi.
À moi ! Vocifère-t-il dune voix tonitruante.
Attends ton tour ! répond Ahmed dune voix stridente.
Un moment de silence sinstalle. Je regarde les deux sexes encore dressés. Lenvie qui me taraude est de plus en plus vive depuis que je me rends compte que je suis capable de provoquer une véritable émeute. Je suis comblée car en train de vivre quelque chose qui correspond bien à ce dont elle javais envie : jallais me faire baiser comme ce que jétais devenue, à savoir une putain.
Non, ne vous battez pas pour moi. Je vais vous rendre heureux. Je vais vous donner du plaisir, Mais soyez un peu patients ! Ça te plait, Philippe ?
Oh oui, ma chérie. Tu es vraiment la plus grande des salopes.
Sors ta queue, mon chéri. Je veux te voir gicler sans que tu te touches.
Je mapproche du roux pour me dresser sur le bout des pieds afin de passer le bout de la langue sur le visage écarlate et bouillant puis me tourne vers lautre, lui saisit une main que je plaque sur un de mes seins et approche mon visage lentement afin de délivrer la même application humide. Je recule ensuite légèrement et maccroupis afin davoir la queue blanche à hauteur du visage. Jentoure le bâton de chair avec lextrémité des doigts dune main tandis que lautre est posée à plat sur la cuisse opposée de lhomme qui se cambre en respirant fortement. Jarrondis la bouche pour memparer de la hampe qui se dresse encore un peu plus. Jentame une caresse, mappliquant à faire glisser les lèvres sur un rythme lent mais régulier. Des bruits humides occupent latmosphère. Les mains du colosse se sont refermées sur mon crâne mais je men débarrasse prestement, désirant ainsi signifier que je veux continuer de contrôler la situation. Au bout de quelques minutes, le souffle du roux se fait de plus en plus saccadé et se transforme en un grognement sourd tandis que les cuisses puissantes se mettent à trembler. Je fais coulisser les doigts le long de la bite et jai juste le temps de me débarrasser du membre, sur le point dexploser, avant de voir deux jets dun liquide blanc fuser sur le côté et se répandre sur le sol. Moi qui adore le sperme, jaurais aimé lavaler, mais les consignes de Rachid sont sans ambiguïté.
Ahmed sapproche, au paroxysme de la fébrilité, en exhibant une queue brune courbe, de taille moyenne et terminée par un gland en forme de fusée. Seule la tige sort de la braguette. Il a lintention de profiter de la même caresse.
Miguel, quant à lui, se tient à lécart, observateur, le sexe raide et les bras le long du corps.
Je repousse le roux encore abruti, me lève et me débarrasse du string, trempé, que je donne à Philippe. Je me dirige ensuite vers un des murs de la pièce, mappuie dune main contre la paroi me cambre et écarte les jambes, présentant ainsi mes formes les plus intimes. Je tourne ensuite la tête vers Ahmed auquel je souris, lui adresse un clin dil et dis avec une moue et sur un ton presque implorant :
Viens, alors, quest-ce que tu attends ? Mais noublie pas de mettre ce quil faut.
Le type se précipite vers la boîte, louvre et en ressort un étui à préservatif quil ouvre nerveusement. Il fait glisser la protection sur la hampe raide et vient se placer derrière moi, qui me hausse légèrement sur le bout des pieds. Je me mords les lèvres lorsque je sens le bout de la tige donner des coups rapides afin de trouver lentrée de son ventre.
Haa ! Doucement, doucement !
Ahmed, les jambes légèrement fléchies, a refermé ses doigts dans la chair chaude et soyeuse de mes hanches. Il est en train de me posséder. Il commence ensuite à faire coulisser son sexe qui ressort à chaque fois un peu plus luisant. Il procède ainsi pendant un long moment, goûtant le plus longtemps possible à ce plaisir quil naurait jamais soupçonné pouvoir consommer quelques heures auparavant. Comme toujours, la présence de Philippe décuple mon plaisir.
La mâchoire crispée, je sens brusquement la bite se durcir un peu plus tandis que les coups de reins de mon partenaire deviennent progressivement désordonnés. Ahmed se plante une dernière fois en poussant un cri sec et nerveux suivi de plusieurs plaintes. Je ressers mes chairs intimes tout en me mordant un peu plus les lèvres alors que lenveloppe de plastic se remplit peu à peu dun produit qui réchauffe ses entrailles. Le Maghrébin, épuisé, enserre de ses bras ma taille, la poitrine appuyée contre mon dos. Il se redresse ensuite afin dextraire son sexe.
Jai conservé ma position lorsque jentends Miguel approcher en soufflant. Je tourne la tête vers lui et le regarde. Lhomme me saisit un bras fermement, une lueur dure dans les yeux.
Allonge-toi sur la table !
Je me rends compte que la manière avec laquelle il sest adressé à moi ne me déplaît pas. Je me dirige vers la table et prends appui des deux mains sur le bord en bois. Tout en fixant Miguel dun air insolent, je me hausse sur les bouts des pieds afin de pouvoir masseoir sur le meuble.
Allez, viens !
Je ponctue ces derniers mots par une moue puis me renverse sur la table en écartant largement les jambes que je ramène sur les flancs. Lhomme vient se placer entre mes jambes, saccroupit et plaque les paumes de ses mains à lintérieur des cuisses offertes pour les maintenir. Il pose ensuite ses lèvres sur la vulve et commence à lécher le fruit juteux. Jouvre les yeux en grand et semble transportée dans un univers dextase. Les bruits de succion cessent au bout dun moment. Miguel se relève et va se saisir dune pochette de préservatif quil déchire pour ensuite dérouler la protection sur son muscle aussi court que nerveux. Il passe chacun de ses bras sous mes cuisses chaudes pour les soulever.
Ecarlate, Miguel parvient, par de petits coups de reins, à présenter sa queue face à mon orifice intime puis senfonce dun mouvement continu. Ses doigts abîmés par les travaux se referment sur les chairs couleurs pain brûlé des cuisses pleines. Il reste ainsi immobile quelques secondes puis commence à me limer sur un rythme régulier tandis que la table se met à grincer. Je savoure cette étreinte. Les yeux plongés dans ceux de celui qui me prend, jécoute les couinements du meuble, les doigts de ses mains recroquevillés sur les bords. Le visage de Miguel est déformé par un rictus alors que la lèvre inférieure de sa bouche tremble légèrement.
Les couinements de la table se font plus rapides et les ongles de louvrier senfoncent encore un peu plus dans la chair des cuisses. La bite épaisse se courbe et le gland gonfle encore un peu plus avant que, de nouveau, mon ventre soit envahi par une vague de chaleur qui lui réchauffe entièrement le corps. Lhomme a encore la force de donner quelques coups de reins en râlant avant de simmobiliser, pétrifié, le regard dans le vide. Une fois ses esprits retrouvés, il sextirpe.
Un autre mec entre. Il baisse son pantalon et sort sa queue sans dire un mot, moi je me mets en levrette sur le petit lit et je lui montre bien mon cul pendant quil enfile sa capote. Et comme ça pendant à peu près deux heures les hommes se succèdent dans la chambre. Des fois je nai même pas le temps daller au lavabo me passer un peu deau pour me rafraichir. Ils jouissent tous dans leur capote. Et la file dattente ne diminue pas devant la chambre. Certains mecs durent très peu et jouissent très rapidement, dautres donnent des coups de reins assez forts, je sens leur queue taper au fond. Je les prends toujours en levrette en écartant bien les fesses.
Sur le coup de 22 heures, les deux vigiles montent et demandent à tirer un coup eux-aussi. Ils baissent leurs pantalons et lun des deux mintroduit sa queue dans la bouche et commence à me baiser méthodiquement, comme si cétait une chatte. Lautre me plante sa queue bien à fond dans ma chatte. Ça dure comme ça pendant 20 minutes.
A la fin, celui qui est dans ma bouche y éjacule bien au fond sans se retirer. Je ne peux rien faire, je sens sa giclée couler dans ma gorge. Lautre un peu après sort de ma chatte et enlève sa capote et me jouit sur les fesses. Après ils sortent de la chambre et je prends le temps de me rincer. Puis je reprends le rythme pendant encore à peu près deux heures.
A la fin, Rachid et Philippe me diront que je me suis enfilé 27 queues. On sen va avant le changement de garde des vigiles. Nous rentrons à la maison, jai le bas ventre bien endolori, mais Rachid et Philippe voulaient encore que je fasse mon « devoir conjugal ».
Je métais laissé, une fois de plus, entraîner par mes sens. Mais, pour la première fois, une fois la séance terminée, je ressentais de la gêne, voire de la honte. Je me disais quil fallait arrêter ça. Mais jétais encore et toujours sous la coupe de Rachid.
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